Le vélib, c’est bien, c’est chouette, mais comment éviter les galères ?
Tout d’abord, bien choisir son vélo ! Ensuite ne restera plus qu’à gérer les problèmes d’orientation dans Paris, de gestion du temps, et de bornes pleines ! Mais cela fera l’objet d’un prochain billet…
Aujourd’hui, le sujet : un aide-mémoire pour vérifier rapidement que la monture de votre choix est correcte et que vous n’allez pas vous retrouver à pousser ce lourd vélo (22 kilos tout de même).
Bon, on commence ? Voici l’aide-mémoire, du plus indispensable à l’optionnel :
Ne pas prendre un vélo dont la selle est tout en bas et à l’envers
(c’est un signe tacite que le vélib a un problème)
Faire tourner le pédalier
(cela permet de vérifier que : 1/ le vélo a bien une chaîne, 2/ celle-ci n’est pas déraillée, 3/ le pédalier n’est pas trop dur)
Vérifier la pression des pneus
(deux méthodes : donner un coup de pied dans chaque pneu, ou appuyer à la verticale sur le guidon et la selle simultanément et vérifier que le vélo résiste bien)
[maintenant, on commence l’optionnel]
Régler la selle à la bonne hauteur
(là, ça se trouve, la personne précédente a serré le collet à mort et vous serez obligé de changer de vélo)
(c’est pour cela que je choisis toujours un vélo avec une selle qui correspond au plus près du niveau souhaité)
Vérifier que le cache de la chaîne est toujours là (pas nécessaire quand on est en jupe)
Vérifier que le panier est là si besoin
Régler sur la vitesse souhaitée pour le départ
Autres astuces :
- avoir toujours un bonnet et des gants sur soi (voire une cape de pluie)
- souvent la vitesse saute en cours de trajet. Pour contourner le problème jusqu’au dépôt du vélib, il suffit de maintenir serrée la molette des vitesses.
Si vous avez d’autres astuces à partager, signalez-les dans les commentaires, et je mettrai l’article à jour.
jeudi 6 mars 2008
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