mardi 4 septembre 2007

Grand amour : les contes de fées du XXIème siècle

Allez, encore une série de commentaires sur l'article qui a fait grand bruit cet été : "l'amour PME" (ELLE), et sa confrontation avec un autre article "ces hommes qui croient à la femme idéale" (Marie-Claire).
(pour lire les épisodes précédents, allez voir la catégorie PME)
Choisissez votre camp ! Le débat est ouvert :

Aligrette :
C'est marrant je viens justement de lire l'article dans le Marie-Claire sur les hommes qui croient aux princesses charmantes... Ulysse, ça te parle plus que l'amour PME ?

Ulysse :
la princesse charmante me parle effectivement plus que l'amour PME ! C'est pas ma faute, c'est ma maman qui me lisait quand j'étais petit plein de légendes, de mythes et de contes sur les amours passionnées des dieux anciens et des chevaliers courtois, dont le sort était lié à la vertu et la vaillance à la force et à la constance de leur sentiment...

Aligrette :
oui.... c'est sûr que je me vois mal lire l'article "l'amour PME" tous les soirs à mes enfants plus tard...
mais je devrais peut-être... leur pourcentage de chances d'être casés à notre âge serait peut-être supérieur...

Ulysse :
"...ils vécurent pas si malheureux que ça, n'étant pas amoureux mais ayant bien compartimenté leur vie, leur budget, leurs amis, leurs avoirs financiers et leur emploi du temps, et eurent beaucoup d'enfants qu'ils élevèrent plus ou moins entre deux voyages professionnels avec ceux de leur premier lit grâce à la pension de reversion du premier mari de madame."
Ahhhh, ils seront beaux les contes du XXIème siècle !! :))
Mais si ça aide nos enfants à se caser, parfait...

Aligrette 1 :
voire les contes du XXIIeme siècle...
le temps qu'on ait des enfants... (et di'ic là on vivra 200 ans et on pourra avoir des enfants à 120 ans...)

Aligrette 2 :
ah non, moi je ne leur dirai jamais ça à mes enfants....
ben oui, je suis un peu féministe dans l'âme donc la pension de reversion du 1er mari, pas question ! ;-)
(pour le reste on verra suivant le cours des évènements s'il y a de l'espoir autrement ou non...)

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